Courts métrages amateurs

Quand je me suis formée à l’image, j’ai vu la possibilité d’utiliser l’écriture pour construire un récit visuel. Ça porte un nom : le scénario ! Et comme dans la famille, on adore le cinéma, j’ai commencé un petit travail scénaristique avec ma fille Irma, 12 ans. On s’échange des idées d’histoires, on les écrit ensemble, je note tout ce qui nous passe par la tête et on monte un projet de film court. D’abord, on a fait un petit film à huis clos de 2 minutes, version film muet, puis quelque chose de plus construit avec un vrai scénario et un tournage en extérieur. Les acteurs sont toujours les mêmes pour l’instant : Irma, son frère Lucas et sa sœur Julia qui veulent bien s’amuser quelques heures sur nos délires, Mariano, le papa, qui adore jouer un rôle et moi qui préfère être derrière la caméra et au montage.

Pourquoi on fait ça ? Pour s’inventer des histoires, vivre des aventures différentes et surtout, avoir le plaisir de voir aboutir un travail qu’on adore faire sans se prendre au sérieux.

 La sirène aux diamants, court métrage écrit et réalisé en 2008, en une soirée, en famille.
Dans la baignoire, les marins entendent le chant de la belle sirène et perdent la raison.

Couleurs fatales, court métrage réalisé en 24 h lors du marathon du court métrage, à Caen, printemps 2009.
Au pied du Mont Saint Michel, un homme s’écroule, le blanc et le noir s’affrontent, le feu jaillit de la haine des hommes.

 

Bien pris qui croyait prendre, court métrage réalisé en 2010 au château de Kergrist, Ploubezre, Côtes d’Armor.
Une bande de filous viennent voler les bijoux d’une jeune châtelaine. Mais ils n’avaient pas prévu qu’elle serait aussi rusée… 

 

  

En projet : une série de 5 courts métrages très courts sur un thème commun : les situations grotesques, burlesques de la vie quotidienne

 

 

2 commentaires sur « Courts métrages amateurs »

  1. En parlant de burlesque et de grotesque, je travaille sur le thème suivant : « vos nuits étaient plus belles que mes jours », ou l’histoire d’une fleur qui perd son dernier pétale tandis que le soleil se couche. En plan fixe, l’allégorie de cette fleur autrefois belle et couvée par le soleil, mais aujourd’hui fanée à ses yeux, puisqu’il qui se lève sur une prairie de fleurs nouvelles. Un dernier rayon luit, comme un semblant de lien pour celle qui était mais n’est déjà plus ou qui sera peut-être encore…. à moins que…. Je n’ai pas encore imaginé la fin.
    Un tout autre style que le votre.
    Bonne continuation.

  2. Bonjour…C’est amusant et mignon le travail que vous faites…
    J’ai vu que vous êtes passé chez moi, merci pour ton passage…un petit mot m’aurait fait plaisir….
    Bonne continuation.

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